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On continue dans la série des brasseurs de la bière des abonnés, avec un cour de brassage de la bière par Nicolas Verdoia, qui nous explique sa version de ce délicieux nectar qu’est la blonde bien houblonnée.
Ce brassage est un concours
Souvenez-vous : le 15 juin dernier, nous vous donnions la recette de la bière des abonnés, celle pour laquelle chacun de nos 10’000 membres a eu son mot à dire pour établir la recette. Pour rappel, ce brassage est un concours de la meilleure bière brassée par nos abonnés : vous avez jusqu’à fin septembre pour brasser votre bière et nous l’envoyer. C’est Brice, de la brasserie Galibier, qui fera office de juge.
Pourquoi fin septembre et plus fin août ? Tout simplement car il a fait très chaud cet été, et que vous avez peut-être rencontré des difficultés. Du coup, la bière des participants sera dégustée fin septembre, brassée en octobre, et dans tous nos coffrets de Noël. Plutôt sexy pour la personne qui sera sélectionnée, car le gagnant viendra à la brasserie Galibier avec nous pour établir la recette de sa bière, et participer à son brassage. Toutes les informations sont dans cet article, et il est encore temps de participer, comme Nicolas Verdoia, dont on parle aujourd’hui.
1 – Comment t’appelles-tu, et dans quelle région vis-tu ?
Salut. Je m’appelle Nicolas Verdoia, et je vis à Saint Paul de Varces, en Isère.
2 – As-tu déjà brassé de la bière, ou as-tu débuté avec le brassage de la bière des abonnés ?
J’ai commencé à brasser de la bière au mois de janvier, avec un kit pour me faire la main avec le matériel, l’hygiène et la fermentation. Je suis passé au tout grain quelques semaines plus tard, en créant mes propres recettes à l’aide du logiciel Beer Tools Pro.
3 – Peux tu nous expliquer comment tu as brassé ta version de la bière des abonnés ?
Pour le brassage, j’utilise la technique appelée BIAB (Brew In A Bag) qui permet de gagner du temps car il n’y a pas besoin de rincer les drêches.
J’ai une cuve de brassage électrique de 27 litres Brewferm. J’ai utilisé des houblons en pellets que je mets dans des sacs lors de l’ébullition pour ne pas avoir à filtrer le moût.
4 – Qu’est-ce qui t’a plu dans cette expérience ?
Ce qui m’a vraiment plu, c’est l’odeur a l’ouverture du seau de fermentation après le dry hopping. (ndlr, nous, on aime particulièrement les étiquettes)
5 – Quels problèmes as-tu rencontré ?
Le seul problème rencontré est la perte de 2 litres de moût à cause de la cassure à chaud, mais c’est le cas à chaque brassage.
Merci à Nicolas pour sa participation à ce brassage, et le partage de celui-ci. Si toi aussi tu brasses ta bières, ou que tu es intéressé, n’hésites pas à nous contacter sur contact@unepetitemousse.fr
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